La couleur et la lumière furent décrites dès l'Antiquité par Aristote. A cette époque, on avait une toute autre idée de la constitution des couleurs, et peut-être influencées par l’importance de la luminosité des pays méditerranéens, la clarté et l'obscurité étaient des notions prépondérantes par rapport aux teintes. On classait d'ailleurs les couleurs uniquement par leur luminosité entre le blanc et le noir. Les teintes étaient largement secondaires et leur rôle peu exploité. Il faut dire qu'il était assez difficile à cette époque d'obtenir des teinture aux couleurs saturées.
Pendant tout le moyen-âge, la prédominance de la luminosité va continuer à influencer la compréhension de la couleur et ce schéma général va encore se compliquer avec les connotations théologiques de l'époque et avec la double nature de la lumière déclinée en Lumen, la source lumineuse d'origine divine (par exemple comme la lumière solaire) et Lux qui se raproche plus de ll'aspect sensoriel et perceptif comme la lumière d'un feu de bois tou proche qu'on peut manipuler. Cette dualité est aujourd'hui reprise dans les unités photométriques modernes où lumen est l'unité qui décrit le flux de la source lumineuse et lux est l'unité de l'éclairement reçu par une surface matérielle.
C'est à Chevreul ( chimiste français du XVIIeme siécle ) que l'on doit une classification méthodique des couleurs, par l'emploi d'un cercle divisé en 12 secteurs égaux appelé cercle chromatique. La position qu'occupe le vert, entre le bleu et le jaune dans l'arc en ciel, conduit immédiatement à l'idée qu'il résulte du mélange de ces dux couleurs. L'expérience confirme cette hypothèse. Il en est de même pour l'orangé et le violet. Par contre, il est impossible, en mélangeant ces couleurs de reproduire le jaune, le rouge ou le bleu : ces 3 couleurs sont donc les couleurs primaires.
acheter un cercle chromatique,
Le mélange des couleurs primaires donne des nuances qui varient suivant leur position dans le cercle chromatique. Si elles sont voisines, le mélange rappelle l'une et l'autre, pour donner des couleurs intermédares : bleu + vert = bleu verdâtre. bleu + violet = bleu violacé. Si par contre on mélange 2 couleurs primaires entre elles, on obtient une couleur secondaire : jaune + bleu = vert.
Cependant contrairement à la photographie qui utilise le système additif : la somme des couleurs est égale au blanc,
la peinture utilise le système soustractif, le blanc est caractérisé par l'absence de couleur.
Ces notions de base sur le cercle chromatique sont très importantes, et les peintres ne peuvent pas les ignorer; Il faut savoir par exemple que le mélange de 2 couleurs qui ne sont pas voisines sur le cercle chromatique, donnera du gris.
Les impressionnistes étaient passés maîtres dans la maitrise de la couleur de la lumière et des ombres. Vous pouvez vous en inspirer en particulier dans les ombres. Pour réaliser une ombre, vous devrez mélanger la couleur locale de la partie à l'ombre + la couleur complémentaire de cette couleur locale + une pointe de bleu-violet, le bleu étant toujours présent dans les ombres car le manque de luminosité tend à tout bleuir. Si la partie à l'ombre est blanche, par exemple une portion de table blanche ombrée par un objet rouge, je vous conseille de travailler l'ombre de la manière suivante : mélangez la couleur de l'objet qui ombre avec sa complémentaire et rajoutez une pointe très légère de noir. Ici Rouge + Vert + Noir. Pour rompre une couleur, il faut lui adjoindre du blanc. Contrairement aux idées reçues, le blanc n'éclairera jamais une couleur. Il aura plutôt tendance à l'affadir, voir à la griser. Pour accentuer l'éclat d'une couleur, vous aurez plutôt intérêt à jouer sur les contrastes ou à lui ajouter du jaune si cela ne fait pas virer la teinte radicalement
Peindre avec les peintures à l'huile extra-fines Lefranc et Bourgeois :
Les couleurs primaires considérées comme fondamentales, ne sont jamais aussi pures en
peinture que les couleurs théoriques. La palette du peintre ne peut pas se limiter à ces trois éléments, elle doit prendre en compte d'autres couleurs, car à force de combinaisons chimique, plus on mélange les pigments entre eux, plus on salit la couleur qui vire vers le gris. Les couleurs toutes prêtes seront plus vives de ton et plus franches que celles obtenues par mélange. Lefranc&Bourgeois a sélectionné 12 couleurs principales qui permettront en les mélangeant d'obtenir le maximum de subtilité et d'éclat dans vos tableaux.
Cependant contrairement à la photographie qui utilise le système additif : la somme des couleurs est égale au blanc,
la peinture utilise le système soustractif, le blanc est caractérisé par l'absence de couleur.
Ces notions de base sur le cercle chromatique sont très importantes, et les peintres ne peuvent pas les ignorer; Il faut savoir par exemple que le mélange de 2 couleurs qui ne sont pas voisines sur le cercle chromatique, donnera du gris.
Les impressionnistes étaient passés maîtres dans la maitrise de la couleur de la lumière et des ombres. Vous pouvez vous en inspirer en particulier dans les ombres. Pour réaliser une ombre, vous devrez mélanger la couleur locale de la partie à l'ombre + la couleur complémentaire de cette couleur locale + une pointe de bleu-violet, le bleu étant toujours présent dans les ombres car le manque de luminosité tend à tout bleuir. Si la partie à l'ombre est blanche, par exemple une portion de table blanche ombrée par un objet rouge, je vous conseille de travailler l'ombre de la manière suivante : mélangez la couleur de l'objet qui ombre avec sa complémentaire et rajoutez une pointe très légère de noir. Ici Rouge + Vert + Noir. Pour rompre une couleur, il faut lui adjoindre du blanc. Contrairement aux idées reçues, le blanc n'éclairera jamais une couleur. Il aura plutôt tendance à l'affadir, voir à la griser. Pour accentuer l'éclat d'une couleur, vous aurez plutôt intérêt à jouer sur les contrastes ou à lui ajouter du jaune si cela ne fait pas virer la teinte radicalement
Peindre avec les peintures à l'huile extra-fines Lefranc et Bourgeois :
Les couleurs primaires considérées comme fondamentales, ne sont jamais aussi pures en
peinture que les couleurs théoriques. La palette du peintre ne peut pas se limiter à ces trois éléments, elle doit prendre en compte d'autres couleurs, car à force de combinaisons chimique, plus on mélange les pigments entre eux, plus on salit la couleur qui vire vers le gris. Les couleurs toutes prêtes seront plus vives de ton et plus franches que celles obtenues par mélange. Lefranc&Bourgeois a sélectionné 12 couleurs principales qui permettront en les mélangeant d'obtenir le maximum de subtilité et d'éclat dans vos tableaux.
acheter des peintures extra-fines Lefranc&Bourgeois
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